Afin de répondre à des prérogatives formulées par l'inspection des installations classées, une nouvelle étude de l'impact du cône de dispersion des émissions a été demandée en 2021.

L'objectif de cette étude est de vérifier la représentativité spatiale des sites, et de justifier par des outils numériques plus modernes la localisation des points de mesures. Cette évaluation doit aussi permettre de situer l'impact maximal des émissions dans l'atmosphère, de part et d'autres des sites de mesures en fonction des vents dominants du secteur.

Une modélisation de la dispersion des rejets canalisés de l'usine d'incinération de déchets a ainsi été réalisée sur l'année 2019 afin de représenter le cône de dispersion du dioxyde d'azote (NO2) et des particules PM10 et PM2,5 dans l'environnement de l'incinérateur et d'identifier la localisation des points susceptibles d'être les plus impactés par les émissions atmosphériques.