La Région Occitanie a mis en place en 2019 une dizaine d’engagements pour améliorer les connaissances et réduire l’utilisation des perturbateurs endocriniens (PE). Parallèlement, une quinzaine de collectivités territoriales, dont Toulouse et Montpellier, ont signé la charte « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens ».

Par ailleurs, l'Anses multiplie les actions pour l'amélioration des connaissances sur ces substances.
Atmo Occitanie s'inscrit dans cette dynamique et entreprend, en mars 2024, une étude exploratoire de 3 ans pour évaluer la présence de molécules à caractère perturbateur endocrinien dans l’air ambiant sur son territoire. Cette étude d'envergure est une première en France. Pour la première fois, sera évaluée à l’échelle régionale, l’évolution de la présence de molécules à caractère perturbateur endocrinien sur une longue période, dans différents environnements.

Cette étude exploratoire fait suite à une étude de faisabilité menée en 2022/2023 dont les résultats soulignent l'urgence d'approfondir la compréhension des sources des perturbateurs endocriniens dans l'air ambiant, leurs voies de transport et leurs effets sur la santé.

Decryptage dans le dossier de presse ci-contre.